Damien 42 – Mustapha 01

Pendant quatre mois je fis complètement abstinence, mon cul avait maintenant retrouvé son apparence normale, mes fesses rebondies avaient retrouvé toute leurs fermetés grâce à la gym que je faisais chaque soir.
Mon petit trou, plus mou du tout, était de nouveau bien fermé et bien résistant.
Cependant plus les jours passaient et plus j’avais énormément besoin d'être de nouveau défoncé par une bite bien raide.
Chaque fois que je me lavais dès que je touchais mon anus, je sentais une douce chaleur enflammer mon bas-ventre, je frémissais et je sentais mon puits d’amour palpiter.
N’y tenant plus, je me mis à m'empaler sur des godes mais ce n'était pas suffisant, il me fallait un homme, je voulais que des mains pétrissent mon corps, qu'un membre bien chaud et vivant aille et vienne en moi et crache sa liqueur au fond de mes entrailles, je voulais sentir peser sur moi un mâle, un ventre claquer sur mes fesses, des lèvres écraser les miennes, une langue s'enrouler autour de la mienne, le cri de jouissance de l'homme en rut quand il se déverse, bref je voulais faire l'amour.
Quelques jours passèrent encore je ne tenais plus en place, il fallait que je fasse quelque chose.
J'étais en train de penser à ça quand la sonnette de la porte d'entrée a retenti.
J’allais ouvrir et me trouvai nez à nez avec un copain prénommé Mustapha.
Une fois entré celui-ci me dit "Tu te fais rare ces temps-ci.
- J’ai pas mal de boulot.
- Ah bon ce n’est que mieux.
- Oui t’as raison".
Tout en parlant je ne pus m'empêcher de baisser les yeux vers l'entrejambe de mon copain, il était vêtu du short assez moulant et on voyait distinctement l'imposant paquet qu'il avait devant.
Je me dis que j'aimerais bien découvrir la queue et les burnes que cachait ce short.
Mustapha ne s'était pas aperçu de mon regard, il continuait à me raconter ce qu'il avait fait cette semaine.
Je dois dire que je l'écoutais à peine, tous mes sens étaient dirigés vers ce qu'il avait entre les cuisses.


Je sentais naître en moi un doux émoi que je connaissais bien, j'avais envie de cette bite et il fallait que je trouve le moyen de l'avoir.
Au bout d'un moment Mustapha me demanda "Eh Damien tu écoutes ce que je te dis !!
- Mais oui simplement j'étais un peu perdu dans mes pensées.
- Rien de grave ?
- Non pas du tout.
- Ah bon ! Est-ce que je peux prendre un verre d'eau ?
- Bien sur il y en a de la fraîche dans le frigo.
- Merci".
Mon ami s'est levé souplement et est parti vers la cuisine, j'ai pu admirer sa démarche athlétique, ce qui n'a pas été pour arranger les choses, j'avais de plus en plus envie de lui.
Il est revenu et s'est assis de nouveau en face de moi, pour faire quelque chose j'ai pris mon paquet de cigarettes et en ai allumé une.
Au bout d'un moment j'ai demandé à mon copain "Veux-tu jouer à quelque chose ?
- On fait un Monopoly ?
- Oui c'est une bonne idée."
Je suis allé chercher le jeu et en revenant je suis passé entre Mustapha et la table.
A ce moment là j'ai fait mine de glisser et je suis tombé assis sur les genoux de mon copain.
J'ai senti contre mes fesses le contact électrisant de son appareil génital, Mustapha m'a aidé à me relever et m'a dit "Tu ne t'es pas fait mal ?
- Non pas du tout".
J'ai vu que l'incident avait fait quelque effet, la bosse du short de mon ami semblait avoir grossi.
Cette vision m'a fait dire qu'apparemment mon copain ne devait pas être contre le fait d'enculer un mec.
En ouvrant la boite de jeu je réfléchissais au moyen d'arriver à mes fins.
Nous avons commencé à jouer, il faut dire qu'à ce moment là le Monopoly était bien le cadet de mes soucis et je jouais vraiment mal.
J'avais beau me creuser les méninges je ne trouvais pas la solution à mon problème.
C’est le hasard qui est venu à mon secours, ça faisait une demi-heure que nous avions commencé la partie quand je dis à Mustapha "Je boirais bien un café.
En veux-tu un ?
- Oui avec un peu de lait si tu as.
- Bien sur".
Je fis chauffer du café que je versai dans deux tasses puis je suis revenu à la table, j'ai posé une tasse devant moi et l'autre devant mon ami.
A un moment Mustapha voulant avancer son pion a donné un coup de coude dans sa tasse, celle-ci s'est renversée sur son short.
Mon copain a poussé un petit cri quand le liquide chaud l'a touché, il s'est levé brusquement et s'est frotté l'entrejambe, je lui ai dit "Attends tu ne vas pas rester avec ça sur toi, d'abord ça doit te brûler et en plus du café au lait sucré ça tache.
- Tu as raison.
- Enlève ton short je vais t'en prêter un".
Mustapha ôta son vêtement, il ne portait pas de slip et j'ai pu voir ce que je convoitais.
D'une forêt noire de geai de poils frisés émergeait un superbe sexe circoncis impressionnant au-dessous duquel pendaient deux grosses bourses duveteuses.
Rien qu'à voir ça j'en avais l'eau à la bouche et je dus me retenir pour ne pas me précipiter à genoux pour réconforter ce magnifique membre.
Bien qu'au repos cette bite semblait énorme, érigée elle devait être colossale.
Retrouvant un peu de contrôle je dis à mon ami "Vas dans la salle de bains te passer de l'eau et ensuite rejoins dans ma chambre je te prêterai quelque chose.
- D'accord".
Mon copain partit et je me dis que c'était maintenant ou jamais.
Je ne pouvais pas laisser passer cette chance, depuis que je l'avais vu je ne voulais plus qu'une chose, c'est que cette pine me ramone le fion.
J’allai dans la chambre où je sortis un short de l'armoire.
Quelque temps après Mustapha rentra dans la pièce, je lui demandai "Ca va mieux ?
- Oui j'ai cru m'être brûlé le zob.
- Ça aurait été dommage de faire mal à quelque chose de si beau.
- ….
- Allons ne me dis pas que tu n'as pas une belle bite.
- Si enfin je crois.
- Mais si je te le dis".
Tout en parlant je posai ma main sur la verge flaccide et je regardai Mustapha droit dans les yeux.

Ce contact ne fut pas sans résultat, je sentis contre ma paume le priape se dresser.
Mon copain s'écarta de moi et me dit "Mais qu'est-ce que tu fais ?
- Rien je touche ta bite c'est tout.
- Mais….
- Ne me dis pas que ça ne te plaît pas, j'ai senti qu'elle gonflait.
- Oui mais….
- Mais quoi ?
- Non rien.
- Comment rien ?
- Ecoute Damien je ne sais pas pourquoi on continue à discuter.
- Simplement pour savoir si ça t'a plu ou non que je te touche la bite.
- ….
- Alors tu réponds !!
- Et bien….
- Allons vas-y parles.
- Bon d'accord oui ça m'a plu qu'on me touche la bite.
- Qu'on te touche ou que je te touche.
- Que tu me touches.
- Et alors.
- Alors quoi ?
- Tu viens que ça t'a plu que je te touche la bite.
- Oui mais….
- Mais quoi !!
- Je ne vois pas où tu veux en venir.
- Réfléchis.
- ….
- Ecoute, moi quand quelque chose me plaît j'aime bien que ça recommence.
- Je ne comprends pas.
- Supposons que ce soit toi qui m'ait touché la bite et que j'ai aimé, ce que je voudrais c'est que tu recommences.
- Euh….
- Quoi euh ?
- C'est que….
- C'est que quoi ?
- C'est que je ne peux pas te demander de recommencer.
- Et pourquoi ?
- Parce que.
- Parce que quoi ?
- Mais je ne sais pas.
- Mais est-ce que tu t'es demandé si à moi ça me plaisait de te toucher la bite.
- Non.
- Et si moi ça me plaît. Hein ?
- Je ne….
- Mais parle, n'aie pas peur.
- Je n'ai pas peur mais je ne peux pas savoir si ça te plaît.
- Si tu ne sais pas demande le moi.
- Euh….
- Allez vas-y.
- Bon comme tu veux. Est-ce que tu a aimé me toucher la bite.
- Oui.
- ….
- Bon maintenant que tu sais et puisque toi tu as aimé pourquoi ne me demandes-tu pas de recommencer.

- Mais Damien tu n'es pas pédé ?
- Qu'est-ce que tu en sais.
- Je ne le sais pas.
- Alors maintenant ça te fait deux choses à me demander, premièrement si je suis pédé et deuxièmement de recommencer à te toucher la bite.
- Est-ce que tu veux bien recommencer à me toucher la bite ?
- Oui.
- Est-ce que tu es pédé ?
- Oui.
- Ce n'est pas vrai !!
- Pourquoi dis-tu ça ?
- Je ne sais pas…
- Alors maintenant tu comprends que j'ai envie de toucher ta bite et même plus.
- Que veux-tu dire ?
- Rigolo ce que je veux ce n'est pas seulement la toucher ta grosse bite mais aussi la sucer et surtout que tu me la mettes au fond du cul.
- Tu veux que je te baise ?
- Oui à moins que tu n'aimes pas baiser des mecs.
- Tu sais nous les arabes on baise ce qui se présente, un trou c'est un trou, du moment que tu ne me demandes pas de te sucer ou de te laisser m'enculer.
- Tu n'as aucune crainte à avoir, je ne bande même pas, quand je suis au lit ce qu'il faut faire c'est me donner du zob.
- Dans ce cas je veux bien, mais tu me dis que tu ne bandes pas ?
- Quand je suis au lit avec un mec ma bite reste pendante.
- Eh bien c'est parfait on peut baiser quand tu veux.
- Super et ça tombe bien nous sommes justement dans ma chambre".

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